Lan­gage in­clu­sif : le neutre n’est pas neutre

> CNRS

Une équipe de scien­ti­fiques a dé­mon­tré que les for­mu­la­tions neutres, sans marque de genre gram­ma­ti­cal, ne per­mettent pas d’éliminer com­plè­te­ment le biais vers le mas­cu­lin, au contraire des formes doubles qui men­tionnent à la fois le mas­cu­lin et le féminin.