Louis Broquet (1888-1954), Kyrie, Messe en l’honneur de saint Sigismond pour 4 v. mixtes et orgue, op. 60
Rosalie Délèze-Schaller, Marie Veuthey, Emmanuel Pittet et Charles Barbier. Thomas Kientz, orgue

Saint Sigismond, roi des Burgondes (de 516 à 523)
Fresque (1417-1437)
Église de la Trinité, Constance
Κύριε ελέησον
Kyrie eleison
Seigneur, prends pitié !
Incorporé à la messe, sans doute vers le VIe siècle, le Kyrie figurait fréquemment comme refrain litanique, et, à ce titre, se chantait souvent aux processions, soit en grec soit en latin (Domine, miserere).

1952
Biographie
> Louis Broquet (1888-1954)
Formation musicale à l’Abbaye de Saint-Maurice en Valais avec Auguste Sérieyx (théorie) et Armin Sidler (orgue), maître de chapelle de l’abbaye de 1918 à 1954. Compositeur essentiellement vocal et nourri de la pensée de César Franck et d’Auguste Sérieyx, ce jurassien laisse un catalogue de plus de 1230 numéros (messes, chœurs d’hommes, chœurs mixtes, musique de chambre, piano, orgue). On lui doit plusieurs œuvres de circonstance dont Terres Romandes (1937) sur un texte de Louis Poncet et la Cantate du Rhône (1953) sur un texte de Maurice Zermatten.
Dictionnaire historique de la Suisse